You don't love me the way that I love you
C'est hard putain. Ces retours, difficiles, toujours. J'en ai assez, la je commence a en avoir assez de survivre. Depuis une semaine, tous les jours a bad thing me tombe dessus. Ca va du fait que j'ai vu le D. en question et qu'il m'a a peine adressé la parole (je n'imaginais guère d'aussi draconniennes attitudes) jusqu'au fait que celui que je considere comme mon grand-frere (faute d'en avoir un vrai biologique du même sang) va surement demenager dans le sud, aux sables d'Olonne.
Voilà, a quoi ça ressemble. On tisse un fil, a peu pres stable, sur lequel on avance, on evolue, sur lesquel on rencontre des personnes, certaines dont on va même tomber amoureuse, certaine pour lesquelle on éprouve le besoin de les sentir pres de soi. Et au final, la plupart de ces personnes vont faire une mauvaise chute. Et on se retrouve seule. Pas assez large le fil, surement.
Putain de vie.